S01-20
Réflexions du principe de dignité de la personne humaine dans le droit des personnes emprisonnées à l’eau potable et d’assainissement de base saineLe droit d’obtenir de l’eau potable est un droit humain essentiel à la pleine jouissance de la vie et les autres droits humains et fondamentaux reconnus par l’Assemblée Générale des Nations Unies (ONU) en 2010.
En ce sens, l’accès de la population en général et des personnes emprisonnéesen particulier à l’assainissement et l’eau potable dans leurs cellules semble affirmer la dignité de la personne humaine au cours de la période d’isolement et le assainissement démontre, par conséquent, essentiel pour le maintien de que la qualité des ressources en eau de tout le collectif, mais remplit également le but d’éviter la transmission de maladies entre les gens par l’utilisation d’eau contaminée.
Cependant, les coûts de la fourniture d’eau potable et l’assainissement devraient être calculées conformément à la capacité économique des citoyens en général, étant donné que vous pouvez acheter ces services sans affecter l’accès à d’autres marchandises nécessaires, comme la nourriture, par exemple, assurant la dignité de la personne humaine. Toutefois, il ne peut pas même quand il s’agit de recluse de la population, dans la mesure où ces personnes sont confinées à une cellule, tandis que il soit la solution publique d’État pour la remise de son comportement criminel.
La prison est un instrument politique et, a fortiori, est imposée aux personnes confinées qui y sont, et l’état fournit en soi une garantie d’un juste équilibre entre les droits inaliénables et de la privation de liberté qui découle d’emprisonnement. Dans ce contexte, il est clairement la relation entre l’assainissement et de protection de l’environnement, l’absence de traitement des eaux usées des prisons, en particulier les plus anciens, non seulement viole les droits à l’assainissement et l’eau potable à la population dans l’isolement, mais a aussi des réflexions dans le droit à la vie et la santé de ces personnes, dans le sens d’un droit de vivre dans un environnement équilibré, sain et sauf – même si momentanément dans l’isolement.
Ainsi, nous pensons que l’absence d’un accès complet à ces droits de la part de personnes emprisonnéesnécessairement implique une violation du principe de dignité de la personne humaine. Ainsi, le droit à l’eau est lié au droit à la vie, santé, logement, nourriture, conditions de travail appropriées et hygiène, c’est-à-dire, un ensemble de droits fondamentaux en corrélation avec la vie et la dignité de la personne humaine, sur la base desquels l’État a l’obligation d’assurer et de poursuivre toute violation.
Notre proposition est basée sur le manque d’hygiène dans certaines zones du parcpénitentiaire, en particulier, dans les prisons plus âgés de la prison portugaise, que la déficience structurale et une déformation de l’écoulement du temps ont été objet de signalisation par violation du principe de dignité de la personne humaine. Au terme de notre enquête, nous cherchons de l’aide dans les rapports du Conseil de l’Europe sur l’état des prisons et des autres documents institutionnels portugaises, ainsi que d’utilisation de la méthode déductive-hypothétique d’approche dans le cadre de notre enquête, étant le notre fondamentalement descriptif analytique.
Mots-clés: SPACE, droit à l’eau, les prisons, les principes de la dignité humaine.
Firmantes
Nombre | Adscripcion | Procedencia |
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Marco Ribeiro Henriques | FDUNL/FCT | Portugal |